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Thứ Tư, 20 tháng 2, 2013

Les kangourous

  
LES KANGOUROUS




Les kangourous sont des mammifères qui se trouvent uniquement en Australie et dans les îles proches. Ils se déplacent en sautant debout sur leurs pattes arrière, et les femelles portent une poche sur le ventre.


Les kangourous sont des mammifères marsupiaux. Cela signifie que les petits se développent dans une poche sur le ventre de leur mère (la poche marsupiale). Ils passent entre 6 et 10 mois à l’intérieur de cette poche. Même lorsqu’ils sont assez grands pour en sortir, ils continuent encore longtemps à téter, en plongeant la tête dans la poche. De plus, dès qu’ils se sentent effrayés, ils se précipitent pour se cacher dans la poche, tant que leur taille leur permet encore de le faire !


Les kangourous se déplacent par bonds. Les plus grands kangourous sautent 9 mètres de long en un seul saut ! Au repos, ils prennent appui sur leur queue. Ils sont herbivores et se nourrissent d’herbes et de feuilles.

Il existe plus de 50 espèces différentes de kangourous. Certains sont très grands, comme le kangourou roux, qui mesure 1,80 mètre de haut, 1,20 mètre de long (sans la queue) et pèse environ 90 kilos.

Mais d’autres kangourous, comme les potorous, ne dépassent pas 30 ou 40 cm de long et pèsent moins de 2 kilos (c’est plus petit qu’un chat !). Les wallabies (wallaby au singulier) sont aussi des kangourous ; ils mesurent environ 90 cm de long.


 La plupart des kangourous sont terrestres (ils vivent sur le sol). Mais certaines espèces vivent surtout dans les arbres (on dit qu’elles sont arboricoles) : ce sont les petits dendrologues, qui marchent de façon maladroite sur le sol.

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Thứ Năm, 14 tháng 2, 2013

Insecticides naturels et sans risque

  
INSECTICIDES NATURELS  
ET SANS RISQUE


Moustiques, guêpes, araignées, fourmis, pucerons… Vous voulez vous en débarrasser ? Oubliez l’insecticide ultra toxique ! 16 solutions naturelles, radicales, sans risque pour les éliminer et, si besoin, soulager leurs piqûres.

1. Moustiques : essayez le géranium


Pour repousser rapidement les moustiques, essayez l’huile essentielle de géranium rosat. Extraite des feuilles de la plante, cette solution 100% naturelle est très efficace.
Comment l’utiliser : mettre 1 goutte d’huile essentielle de géranium rosat mélangée à 10 gouttes d’huile végétale à 10 % et appliquer sur les parties exposées du corps (bras, jambes, torse). Renouveler toutes les 4 heures.
A noter : l’huile essentielle de géranium rosat peut aussi être utilisée pour soulager une piqûre (moustique, araignée, guêpe) à raison d’une goutte pure sur le bouton.
Attention : l’huile essentielle de géranium est interdite pendant la grossesse et l’allaitement.

2. Du savon noir contre les araignées 


Détachant, dégraissant mais aussi répulsif et asphyxiant, le savon noir est un produit biodégradable, non polluant qui repousse efficacement et tue les araignées.
Comment l’utiliser : verser 200 g de savon noir dans deux litres d’eau tiède. Laisser bien dissoudre. Ajouter 8 litres d’eau froide et mélanger énergiquement. Vaporiser dans la maison et/ou le jardin 3 ou 4 fois à 8 jours d’intervalle.
A savoir : en matière de savon, sachez que le savon de Marseille est également utilisé pour repousser les insectes (10 cl de savon pour 1 litre d’eau).

3. Lavandin, girofle... contre les guêpes et les taons


Les guêpes et les taons peuvent être dangereux (notamment en cas d’allergie au venin) et infligent des piqûres très douloureuses. Pour les éloigner rapidement et pour longtemps, misez sur les huiles essentielles de citronnelle, de lavandin, de géranium et de girofle.
Comment les utiliser : dans un flacon de 10 ml, mélanger 3 ml d’HE de citronnelle, 3 ml d’HE de lavandin, 3 ml d’HE de géranium et 1ml d’HE de girofle. Verser ce mélange dans un bol d’eau chaude ou sur des morceaux de cotons et laisser diffuser tout le temps nécessaire.
Attention : l'utilisation de ces huiles essentielles durant la grossesse, l’allaitement, ainsi que chez les enfants est soumise à des précautions d'emploi. Demander conseil à un pharmacien.

4. Du bicarbonate contre les insectes en général


Nettoyant, désodorisant… le bicarbonate de soude a bien des vertus ! Derrière sa poudre blanche, fine et sans odeur se cache un puissant insecticide biodégradable et non toxique pour l’environnement.
Comment l’utiliser : mélanger 1 cuillère à café de bicarbonate de soude avec 4 cuillères à soupe d’huile d’olive. Remplir un vaporisateur d’un demi-litre d’eau et ajouter le mélange. Pulvériser plusieurs fois par jour jusqu’à la disparition des insectes.
A noter : le bicarbonate de soude est vendu en grandes surfaces, parapharmacie et certaines pharmacies.

5. De la lavande et de la menthe contre les fourmis


Cuisine, salle à manger, balcon… Quand les fourmis sont installées, pas facile de les déloger ! L’astuce : les huiles essentielles de lavande et de menthe poivrée. Les fourmis détestent leurs parfums.
Comment les utiliser : dans un vaporisateur, mélanger 5 gouttes d’huile essentielle de lavande, 10 gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée et un quart de litre d’alcool à 40°. Pulvériser ensuite plusieurs fois par jour, là où passent les fourmis.
Attention : l'utilisation de ces huiles essentielles durant la grossesse, l’allaitement, ainsi que chez les enfants est soumise à des précautions d'emploi. Demander conseil à un pharmacien.

6. L’ail asphyxie les petites bêtes


Grâce à son odeur forte et persistante, l’ail fait fuir insectes, pucerons, puces… et peut même aller jusqu’à les asphyxier !
Comment l’utiliser : faire bouillir 2 à 3 gousses d’ail hachées dans un litre d’eau. Laisser infuser pendant 12 heures, puis filtrer. Verser dans un vaporisateur et pulvériser directement sur les insectes. Recommencer trois fois à trois jours d’intervalle. Effet garanti

7. De la menthe contre les aoûtats


Démangeaison, plaques rouges, fièvre… Se faire piquer par un aoûtat n’est pas une partie de plaisir ! Et même si ces acariens ne sévissent qu’en juillet et en août (d’où leur nom), mieux vaut éviter de les croiser. Pour cela, utilisez de la menthe, de la mélisse ou de la citronnelle. Leur odeur est fortement répulsive.
Comment les utiliser : tout simplement, en plantant quelques pieds dans son jardin ou dans ses jardinières.
A savoir : les aoûtats vivent surtout sur les graminées et les herbacées.

8. Du plâtre contre les cafards et les blattes


Plutôt que d’essayer toute sorte de produits chimiques en vue d’exterminer définitivement les blattes et les cafards, optez pour le plâtre. Un, c’est un moyen naturel et sans risque pour la santé et l’environnement. Deux, c’est une solution radicale et rapide.
Comment l’utiliser : mélanger 1 cuillère à café de plâtre à 1 cuillère à café de farine blanche et 1 cuillère à café de sucre en poudre. Verser le mélange sur le lieu de passage des insectes. Poser à côté une assiette plate avec de l’eau. En s’abreuvant, ils seront victimes d’occlusion intestinale. Recommencer jusqu’à disparition complète des blattes et des cafards.

9. L’arbre à thé : antipuces


Votre animal se gratte ? C’est probablement parce qu’il a des puces (leur salive irritante provoque des démangeaisons) ! Essayez les huiles essentielles (HE) d’arbre à thé, de lavandin super et de litsée citronnée. Elles sont efficaces et surtout sans risque pour l’animal.
Comment les utiliser : dans un flacon de 100 ml, mélanger 10 ml d’HE d’arbre à thé, 5 ml d’HE de lavandin super, 10 ml d’HE de litsée citronnée et suffisamment d’alcool à 90° pour remplir le flacon. Vaporiser dans l’habitat, sur les coussins, dans le panier de l’animal, sur son collier et même à différents points de son pelage en période de risque (1 fois par jour et en ne vaporisant pas trop près des yeux). A faire au maximum 2 fois par semaine.
Attention : l'utilisation de ces huiles essentielles durant la grossesse, l’allaitement, ainsi que chez les enfants est soumise à des précautions d'emploi. Demander conseil à un pharmacien.

10. Du cèdre contre les mites


Oublier les boules de naphtaline (cancérigènes) et autres solutions toxiques pour lutter contre les mites. Préférer plutôt les huiles essentielles de cèdre de l’Atlas, de cyprès, de lavande et de romarin à cinéole, tout aussi efficaces et surtout sans risque pour la santé.
Comment les utiliser : dans un flacon de 10 ml, mélanger par exemple 5 gouttes de cèdre de l’Atlas, 5 gouttes de cyprès, 5 gouttes de lavandes et 5 gouttes de romarin à cinéole. Verser ensuite le mélange sur des petits cubes en bois ou des pierres poreuses puis placer dans l’armoire, les tiroirs… Renouveler régulièrement, surtout en septembre (période d’éclosion des œufs).
Attention : l'utilisation de ces huiles essentielles durant la grossesse, l’allaitement, ainsi que chez les enfants est soumise à des précautions d'emploi. Demander conseil à un pharmacien.

11. Des orties contre les pucerons


L’ortie c’est la solution contre les pucerons.
Comment l’utiliser : hacher 900 g à 1 kilo d’orties fraîches. Faire macérer 4 à 5 jours dans 10 litres d’eau. Filtrer puis diluer avant usage à raison de 1 litre de solution pour 10 litres d’eau. Mettre dans un vaporisateur et pulvériser sur les feuilles des plantes. Refaire jusqu’à disparition complète des pucerons.
A noter : non diluée, la solution peut se conserver quelques jours à l’abri de la lumière et de l’air.

12. Cochenille : le liquide vaisselle


Besoin d’un insecticide pour repousser pucerons, cochenilles et autres petits insectes ? Plus besoin de chercher loin : utilisez du produit vaisselle de préférence écologique pour limiter les composants toxiques.
Comment l’utiliser contre les pucerons : verser 1 cuillère à soupe de produit vaisselle dans un pulvérisateur rempli de 20 cl d’eau. Vaporiser sur les plantations chaque semaine, jusqu’à disparition des insectes.
Comment l’utiliser contre les insectes en général : mélanger 1 cuillère à soupe de liquide vaisselle et 2 litres d’eau dans un pulvérisateur et secouez énergétiquement. Vaporiser sur les plantes chaque semaine, jusqu’à disparition des insectes.

13. Du pyrèthre contre les chenilles et punaises


Chenilles, punaises, cochenilles, pucerons… Le pyrèthre de Dalmatie est une plante herbacée ayant un fort pouvoir insecticide. Ses fleurs contiennent des substances (appelées pyréthrines) qui attaquent le système nerveux des insectes.
Comment l’utiliser :
- En magasin de jardinage : le pyrèthre y est vendu sous forme liquide. Il faut bien respecter les consignes d’utilisation figurant sur l’emballage.
- Au jardin : faire sécher les fleurs et mélanger une cuillère à café dans 500 ml d’eau dans un vaporisateur. Agiter vigoureusement et vaporiser sur la plante une fois par jour.
A noter : le pyrèthre est inutile en traitement préventif. La préparation doit être conservée dans l’obscurité et au frais.

14. De la rhubarbe contre les limaces


Les limbes (parties vertes des feuilles) de la rhubarbe constituent un puissant répulsif contre les limaces, les piérides du chou (sorte de papillon), les chenilles ou encore les pucerons. Elles sont d’ailleurs utilisées quotidiennement dans l’agriculture biologique.
Comment les utiliser : mélanger 1 kilo de limbes de rhubarbe dans 8 à 10 litres d’eau. Laisser macérer à l’ombre pendant au moins 24 heures. Filtrer et pulvériser 1 fois par jour pendant 3 jours.

15. Moustique : la citronnelle est-elle efficace ?


Besoin d’une solution radicale pour repousser les moustiques ? Optez pour l’huile essentielle de citronnelle de Java.
Comment l’utiliser ?
En diffusion : 4 à 5 gouttes de citronnelle sur une soucoupe en verre ou en porcelaine près d’une source de chaleur.
En vaporisation : 4 à 5 gouttes de citronnelle
En application : 4 (enfant) à 6 (adulte) gouttes de citronnelle mélangées à 2 cuillères à café d’huile végétale. Appliquer sur les parties exposées du corps (bras, jambe, torse) et renouveler toutes les 4 heures.
A noter : l’huile essentielle de citronnelle soulage également les piqûres de moustiques (1 goutte sur le bouton).
Attention : son utilisation est interdite pendant la grossesse et l’allaitement.

16. De la fécule de pommes de terre contre les aleurodes


Non toxique, la fécule de pommes de terre peut étouffer toutes sortes d’insectes (pucerons, aleurodes, piérides du chou…). Voilà pourquoi elle est utilisée par bon nombre de professionnels du jardinage à l’air libre et dans les serres.
Comment l’utiliser : mélanger 30 g de fécule à 1 litre d’eau chaude jusqu’à entière dissolution. Verser dans un vaporisateur puis ajouter 1 cuillère à café de liquide vaisselle écologique. Secouer et vaporiser sur les plantes atteintes une fois par jour.

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Thứ Năm, 7 tháng 2, 2013

Epine calcanéenne

  
ÉPINE CALCANEENNE




L'épine calcanéenne est une pathologie du talon qui peut être invalidante au quotidien. Pour situer l'origine de cette excroissance osseuse et mettre en œuvre les traitements adaptés, il est essentiel de comprendre son lien avec une pathologie touchant la voûte plantaire, appelée fasciite plantaire.

1. Origine de l'épine calcanéenne


L'épine calcanéenne est une excroissance osseuse pointue qui se forme sur la face inférieure de l'os du talon appelé calcanéeum. Cette excroissance résulte de l'inflammation du fascia plantaire, la membrane fibreuse épaisse qui relie le calcanéum (os du talon) aux phalanges du pied.

2. Les autres appellations de l'épine calcanéenne


- Epine de Lenoir
- Exostose calcanéenne

3. De la fasciite plantaire à la formation de l'épine calcanéenne


- La fasciite plantaire (ou aponévrosite plantaire) désigne l'inflammation du fascia plantaire (voir les causes plus bas).
- Ce phénomène inflammatoire résulte de microtraumatismes au point de jonction de cette membrane avec le talon, lorsque le fascia plantaire est trop sollicité (surcharge).
- Lorsque l'inflammation perdure et devient chronique, un processus de guérison peut s'enclencher spontanément : des cellules osseuses se forment alors pour soulager le fascia plantaire de la surcharge excessive.
- Une petite épine osseuse horizontale, qui pousse dans le sens de la marche, apparaît.
- Sa présence est mise en évidence par un simple examen radiologique.

4. Causes et facteurs de risques


- Pratique sportive intense (notamment la course, et les sports sollicitant l'articulation du pied, comme le handball, le basket-ball)
- Marche ou station debout prolongée et répétée
- L'âge
- Surpoids (également chez la femme enceinte) et obésité
- Pieds plats ou pieds creux
- Port de chaussures inadaptées (semelles et talons trop fins, talons trop hauts)

5. Manifestations de l'épine calcanéenne


- Douleurs localisée du talon (généralement unilatérale) : impression de « marcher sur un clou »
- Elles se manifestent surtout le matin, au lever.
- Elles peuvent également faire suite à la pratique d'activités sportives.

6. Traitements et astuces pour soulager la douleur et guérir


L'épine de Lenoir étant lié à une fasciite plantaire, le traitement visera tout d'abord à réduire l'inflammation du fascia plantaire. Plusieurs types de traitements seront mis en œuvre, selon la sévérité des symptômes.
- Arrêt/réduction des activités physiques traumatisantes pour le talon ;
- Application de glace sous le talon (notamment après une activité physique) pendant 5 à 15 minutes ;
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens. En cas de douleurs intenses, le recours aux injections de cortisone est envisagé ;
- Orthèse plantaire ;
- Rééducation : étirements spécifiques du fascia plantaire et du talon d'Achille ;
- Perte de poids en cas d'embonpoint ;
Une fois que l'inflammation a disparu, les douleurs liées à l'épine calcanéenne cessent, généralement.
A noter : l'intervention chirurgicale (ablation de l'épine de Lenoir) n'est indiquée qu'en situation d'échec thérapeutique, mais est une réussite dans 95% des cas.

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