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Chủ Nhật, 20 tháng 11, 2016

Les différents types d'Ours

  
LES DIFFÉRENTS TYPES D’OURS


D'un point de vue général, tous les ours possèdent une fourrure extrêmement dense, une queue relativement courte, 5 griffes qu'ils ne peuvent à aucun moment rentrer, ainsi que de grandes facultés au niveau de leurs sens olfactifs et auditifs. Ils vivent en moyenne entre 25 et 40 ans ce qui peut paraître relativement long pour un animal. De plus, il peut être bon de savoir qu'un ours est capable de courir à une vitesse de 40 km/h, alors qu'il pèse entre 100 et 200kg en moyenne pour une taille allant de 1m30 à 2m. Voici les différents types d’ours :
1- L'ours à collier


 Il est essentiellement végétarien, mais il est également omnivore dans la mesure où il mange d'autres animaux divers et variés. On le reconnaît à sa tâche blanche qui est en forme de croissant sur sa poitrine, ainsi qu'à ses poils courts et lisses hormis sur ses épaules et son cou, d'où son nom d'ours à collier. Cette espèce vit dans la partie nord et nord-est de l'Asie.
2- L'ours lippu


Il s'agit d'un ours omnivore qui cherche sa nourriture au crépuscule mais également à l'aube. Il est fort, trapu et possède de longs poils hirsutes et épais. Il doit son nom de lippu à sa lèvre inférieure qui est plutôt épaisse et très utile pour attraper les insectes. On le trouve principalement dans les forêts tropicales d'Inde et du Sri Lanka. 
3 - L'ours à lunettes


Même s'il est omnivore, la viande ne représente que 5% de son alimentation, ce qui est très peu. Il doit son nom au fait que sur sa fourrure habituellement foncée, on peut voir des tâches jaunes ou blanches autours de ses yeux qui font penser à des lunettes. Cet ours, contrairement aux deux premiers vit en Amérique du Sud. 
4- L'ours noir


Il s'agit de l'espèce que l'on voit le plus souvent. Il est présent dans toute l'Amérique du Nord, c'est à dire de l'Alaska au Mexique. De plus, on l'appelle ours noir à tort car sa fourrure peut varier du noir au blanc. Ainsi l'ours noir possède de nombreuses sous-espèces, ces dernières étant réparties suivant la couleur de l'animal. Notons également que cet ours peut monter aux arbres s’il sent du danger, de même qu'il est capable de marcher sur ses pattes arrière. Il est donc extrêmement agile pour son poids et sa morphologie. C'est surprenant !
5- L'ours brun


 Même si cet ours est omnivore, il a tendance à être opportuniste et donc à se nourrir en fonction de la nourriture présente sur le territoire où il se trouve. Cet ours vit en Europe. Le seul prédateur de cet ours est l'homme. Voici quelques sous espèces de l'ours brun :
a/ Le grizzly 


 Le grizzly est l’un des plus puissants animaux terrestres et c’est aussi l’un des plus grands carnivores. Pour l’homme, il s’agit de l’un des animaux les plus dangereux, car en plus de son incroyable force, il est très agressif. En effet, le grizzly est capable de tuer en un seul coup un animal de grande taille, et ce grâce à ses pattes puissantes, aplaties et équipées de longues griffes non rétractiles. Le grizzly est en fait une sous espèce de l’ours brun que nous rencontrons en Europe et en Asie. Cependant le grizzly lui ne vit qu’en Amérique du Nord, en solitaire, dans les zones boisées et montagneuses. Sa hauteur est de 2 mètre, son poids varie entre 90 kg et 300 kg et se nourrit de fruits, racines, noix, miel, insectes, lézards, poissons, tout mammifères. Il peut vivre jusqu’à 30 ans.
b/ Ours bleu du Tibet


L'Ours bleu du Tibet est une des sous-espèces d'ours brun habitant le plateau Tibétain en Asie centrale, au Nord de l'Himalaya. En tibétain, il est connu sous le nom de Dom gyamuk. Il est peut être à l'origine du mythe du Yéti. Cette espèce est en danger de disparition en raison de l'utilisation de sa bile dans la médecine chinoise.
c/ L’ours de Gobi


c’est la sous-espèce d’ours brun la plus rarissime ainsi que l’un des animaux les plus menacés de la planète. Avec moins de 50 spécimens en vie, il y a peu de chance que ces espèces d’ours survivent encore longtemps à l’état sauvage. Les mongols le surnomment Mazaalai.
d/ L’ours Kodiak


Si le Grizzli possède les griffes les plus impressionnantes avec plus de 10 cm aux pattes avant, en revanche, le Kodiak est, en station bipède, le plus imposant : 3,40 m de haut au maximum   en étirant les pattes arrière. Cependant, en station bipède normale, il mesure en moyenne 1,50 m.
Cet ours est considéré comme le plus grand carnivore terrestre avec un poids qui varie
de 500 à 680 kg. On peut expliquer cette impressionnante corpulence du fait de leur alimentation. En effet, ces ours se nourrissent essentiellement de saumons, une espèce riche en protéines et en graisse.
e/ l'ours blanc


Il s'agit du plus grand carnivore qui existe sur terre. Cet ours vit uniquement dans les régions arctiques. Reconnaissable à son pelage blanc, celui-ci lui permet de se camoufler sur la banquise. C'est également un très bon nageur. Sa survie dépend de la banquise mais également du monde marin, même s'il chasse sur terre mais également dans l'eau.
f/ Panda géant


Le panda géant est gros et massif ; il pèse de 70 à 160 kg et mesure entre 1,2 et 1,5 m ; il n'a qu'un petit bout de queue. Il a un appétit vorace et passe de 10 à 12 heures par jour à se nourrir. On croit que le panda géant consomme chaque jour 9kg de feuilles et de pousses de bambou. Il consomme également une variété de plantes dont des iris, des crocus, des touffes d'herbes, et même de petits animaux.
Les pandas sont des animaux timides dans leur habitat naturel ; en captivité, ils sont amicaux et enjoués. Alors que les jardins zoologiques occidentaux ne possèdent que quelques spécimens, la reproduction des pandas dans les jardins zoologiques chinois semble connaître du succès.

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Thứ Hai, 14 tháng 11, 2016

Le cartable et son évolution


LE CARTABLE ET SON EVOLUTION


Quand on ressort le cartable de l’armoire ou de dessous le bureau… ça sent la rentrée des classes ! Un cartable qui, comme l’école, a considérablement évolué au fil des années.


De la musette au cartable


Au début du XIXe siècle, il y avait aussi peu de cartables que d’écoliers. Et peu de choses dedans : un livre tout au plus, une ardoise et un crayon d’ardoise, le cahier n’apparaissant véritablement que tard dans le siècle, sous le second Empire dans les villes, parfois seulement avec les lois Jules Ferry dans les villages.
Les premiers cartables sont donc comme leurs contenus : légers. Le plus souvent fabriqués par les parents ou un artisan du village, ils ont la forme d’une musette ou d’une gibecière, imitant donc les sacs à gibier des chasseurs. Portés en bandoulière, ils laissent les mains libres.


Les premiers, au début du XIXe siècle, sont fabriqués avec de la toile éventuellement renforcée par du carton ou du cuir, parfois brodée au point de croix par la mère de famille. On peut le trouver aussi en cuir, avec des poches doubles se rabattant en portefeuille, et d’une solidité permettant son utilisation successive par plusieurs enfants.


Dans les régions au climat rigoureux, il existe des cartables en bois : dans les Alpes par exemple, les enfants d’autrefois dévalaient l’hiver la pente vers l’école en s’asseyant sur la mallette en bois fabriquée par les parents, mallette qui leur servait à la fois de cartable et de luge ! Mais on trouve aussi les sacs les plus divers ou, pour les filles (car ils sont moins solides et ne résisteraient pas à des « jeux de garçons »), des paniers en osier. La grande règle, dans une société qui reste pauvre, c’est que chaque enfant utilise surtout ce qu’il a sous la main.

Le cartable autour de 1950


Le fameux cartable en carton bouilli de l’entre-deux-guerres
Même si les sacs de fabrication familiale existent toujours, le cartable en carton bouilli est le grand succès de la communale de l’entre-deux-guerres. Solide et peu coûteux, il se cire et s’entretient comme du cuir. Les plus gros peuvent se porter sur le dos, utilisés par les enfants qui viennent de loin et ne peuvent rentrer déjeuner chez eux.

Le repas dans le cartable jusqu’en 1950


Car bien sûr, dès le départ, le « cartable » ne contient pas que les affaires d’école. On y trouve les billes, les marrons, les lance-pierres ou la corde à sauter… bref : tout le nécessaire aux récréations, ainsi que de quoi manger le midi pour les enfants des hameaux, puisqu’il n’y a quasiment pas de cantines dans les écoles rurales avant 1945.
Un écolier poitevin raconte ainsi qu’en 1940, « nous portions notre repas de midi dans un porte-dîner, dans notre sac, avec les livres, l’ardoise, les cahiers et le plumier renfermant les crayons, le porte-plume, le porte-crayon et les crayons d’ardoise ainsi que la gomme ; lorsqu’on courait avec le sac sur le dos, on entendait à chaque pas comme une espèce de grelot : c’était les crayons dans le plumier » (rapporté dans "Les écoliers et leurs maîtres en France d’autrefois" ).
Les casse-croûte glissés dans le cartable étaient un peu toujours les mêmes : des tartines de pâté, un morceau de pain avec un œuf ou du fromage, des noix ou des pommes, sans oublier un flacon de vin mouillé d’eau (pas d’eau pure, signe de pauvreté inavouable !).

Le cartable support publicitaire


Dès l’entre-deux-guerres, certains cartables deviennent des supports publicitaires pour les grandes marques de chocolat et de biscuits : Poulain, Petit Lu… Mais le phénomène ne prend vraiment de l’ampleur qu’à partir des années 1980. Les cartables cessent alors d’être des objets anonymes pour devenir des produits de marques diverses : celles de la dernière poupée ou peluche à la mode, d’une gamme de vêtements ou de chaussures de sports… Les écoliers d’aujourd’hui deviennent les jouets de la publicité, payant plus cher un cartable devenu affiche.

À main, à dos ou à roulettes ?


Le succès du cartable en carton bouilli avait fait disparaître les sacs familiaux portés en bandoulière ou sur le dos. Dans les années 1950 à 1970, il n’y a plus guère que les enfants dont les problèmes de colonne vertébrale sont signalés par les médecins qui portent encore des cartables à sangles.
Puis, la mode en revient dans les années 1980-1990, une mode devenue nécessaire avec l’accroissement du nombre de livres, du poids des manuels et la généralisation des cantines (les petits doivent partir le matin avec le matériel de toute une journée).
Des associations de parents ou de médecins dénoncent régulièrement le poids excessif du cartable porté à la main. Il redevient donc souvent porté sur le dos, mais aussi, ce qui est une nouveauté, à roulettes, tiré comme une valise. Les trois modèles coexistent aujourd’hui. Ils sont tous achetés en magasin bien sûr : les cartables fabriqués à la maison appartiennent définitivement au passé.

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Thứ Ba, 8 tháng 11, 2016

Le délice de la truffe algérienne "terfes"

  
LE DÉLICE DE LA TRUFFE
ALGÉRIENNE « TERFES »


Le Terfes est communément appelé truffe des Sables, ou truffe du Sahara. Il pousse en Algérie, dans les régions du sud, de l’ouest, et aux portes du désert. Ainsi on en trouve tout autant à Ghardaïa, El Bayadh, en passant par Ouargla.


Le terme n’est pas vraiment approprié pourtant car la vraie truffe est un tubercule lorsque le Terfez est un champignon. Mais la ressemblance visuelle est tellement forte que nombreux sont ceux qui les confondent, même si la comparaison semblerait se limiter au visuel.


La truffe est récoltée en hiver quand le Terfez est récolté au printemps. Le Terfez pousse dans des terres sablonneuses, lorsque la truffe pousse sous des chênes dans des terres calcaires. Mais la récolte se fait à peu de choses près de la même façon, à la main, aidé de chiens renifleurs, pour ne pas risquer de détruire ce produit très fragile, mais parfois au râteau pour les plus pressés.


Quand bien même, les amateurs, Algériens et plus généralement le monde arabe ne s’embarrassent pas de considérations scientifiques. Leur truffe à eux est un produit noble, qu’ils consomment sous différentes formes et surtout sous forme de tajine. on lui attribue de nombreuses vertus nutritionnelles et même aphrodisiaques. Les pays du Golfe en raffolent et viennent se fournir auprès des producteurs algériens en très grandes quantités, transformant ce produit pourtant abondant en denrée très recherchée. Ils l’appellent Kameh. Les Juifs eux aussi l’apprécient, notamment au moment de la Pâque Juive où ils en consomment comme un plat de fête. Enfin, en France, les Algériens de Marseille semblent également priser ce met, peut-être du fait de leur proximité géographique et culturelle avec l’autre rive de la méditerranée.


Malheureusement il est difficile d’en trouver dans les étals des marchés européens, le  débouché économique n’ayant pas encore été organisé. Mais gageons que cela ne saurait tarder, les exportateurs algériens devraient répondre à la demande croissante des gastronomes algériens, et des autres.

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Thứ Bảy, 5 tháng 11, 2016

C’est quoi, un prix Nobel ?

  
C’EST QUOI, UN PRIX NOBEL ?


1. Alfred Nobel, inventeur de la dynamite, voulait laisser une bonne image de lui après sa mort



Les prix Nobel, on les doit au chimiste suédois Alfred Nobel, inventeur de la dynamite. Grâce à son invention, il monta une entreprise d’armement, qui le rendit richissime. Au décès de son frère Ludvig, en 1888, un journal français publia par erreur la nécrologie d’Alfred Nobel : "Le marchand de la Mort est mort. Le Dr Alfred Nobel, qui fit fortune en trouvant le moyen de tuer le plus de personnes plus rapidement que jamais auparavant, est mort hier".
La lecture de cette nécrologie précoce l'a convaincu de tout faire pour laisser une meilleure image de lui après sa mort.

2. Un testament pour léguer sa fortune à cinq personnalités qui se sont illustrées en chimie, physique, médecine, littérature et... paix mondiale.



C’est pour cette raison qu’âgé de 62 ans, en 1895, il rédigea un testament : Tout le reste de la fortune réalisable que je laisserai en mourant sera employé de la manière suivante :
le capital placé en valeurs mobilières sûres par mes exécuteurs testamentaires constituera un fonds dont les revenus seront distribués chaque année à titre de récompense aux personnes qui, au cours de l’année écoulée, auront rendu à l’humanité les plus grands services.
La suite du testament précise que ces revenus seront divisés en cinq parties égales : l’auteur de la découverte ou de l’invention la plus importante dans les domaines suivants :  
1. la physique
2. la chimie
3. la médecine
4. la littéraire
5. à la personnalité qui aura le plus ou le mieux contribué au rapprochement des peuples, à la suppression ou à la réduction des armées permanentes, à la réunion ou à la propagation des congrès pacifistes
Après la mort d’Alfred Nobel en 1896, quelque 31,5 millions de couronnes suédoises, soit aujourd’hui 1,5 milliards de couronnes (175 millions d’euros) ont été affectées comme capital, dont les intérêts sont chaque année redistribués aux lauréats.

3. Des prix distribués par 4 institutions suédoises et norvégiennes



Le testament précise aussi que les prix seront décernés par quatre institutions de Suède et Norvège (alors unies, entre 1814 et 1905) :
1. l’Académie royale des sciences de Suède pour le prix de Physique,
2. l’Institut Karolinska de Stockholm pour la Médecine,
3. l’Académie suédoise pour la Littérature,
4. un comité de cinq personnalités choisies par le Parlement Norvégien pour le Nobel de la Paix.
Il fut alors décidé d’instituer comme légataire une Fondation Nobel pour gérer le capital des prix Nobel, pendant que les différents comités désignés par le testament se chargeraient de l’attribution des récompenses.
La première cérémonie eut lieu en 1901.
À présent, les lauréats reçoivent chacun un diplôme, une médaille, et un chèque de 8 millions de couronnes (environ 930 000 euros).  Au-delà du montant, ce prix leur permet surtout une renommée internationale sans équivalent.

4. Une nouvelle discipline en 1968 crée par la banque de Suède



En 1968, la Banque de Suède a créé un nouveau prix en sciences économiques. Ce n’est donc pas un prix "Nobel" à proprement parler, mais il est communément qualifié de "Nobel d’Économie".
Cette même année, la Fondation Nobel décide de figer la liste des prix : aucune nouvelle discipline ne peut être créée.

5. Pourquoi pas de prix Nobel de mathématiques ?



La légende veut qu’Alfred Nobel en aurait voulu à un certain Gosta Mittag-Leffler, un mathématicien qui lui aurait "piqué" sa maîtresse, Sophie Hess. Mais deux suédois, Lars Garding et Lars Hömander ont contesté cette rumeur dans un article de la revue Mathematical Intelligencer intitulé "Why is there no Nobel Prize in Mathematics ?".
La vraie histoire, selon les auteurs suédois, c’est qu’il existait déjà à l’époque un prix scandinave de mathématiques… et que Nobel, de nature pratique, n’aimait pas trop cette discipline.

6. Déjà 56 Français lauréats



Déjà 59 Français ont été lauréats du prix Nobel depuis sa création. Avec 14 récipiendaires, c'est en littérature que la France a le plus brillé. Parmi eux : Henri Bergson, André Gide, François Mauriac, Albert Camus, Jean-Paul Sartre (décliné)…
En physique, Marie Curie l'a reçu deux fois. Entre 1999 et 2008, la France a reçu au moins une fois le Prix Nobel dans chacune des 5 disciplines.
Le dernier Français à avoir reçu le Prix Nobel est Jean Tirole en 2014, en économie.




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