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Thứ Tư, 31 tháng 10, 2012

Redécouverte du serpent le plus rare du monde

  
REDÉCOUVERTE DU SERPENT
LE PLUS RARE DU MONDE


Un rapport d'experts atteste qu'il ne resterait plus que 18 serpents de l'espèce Liophis ornatus. Cette petite couleuvre, la plus rare au monde, survit sur un petit îlot, non loin de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Un havre de paix, loin de sa plus grande menace : la mangouste.


Selon les scientifiques, il resterait dans le monde moins de 18 individus de l'espèce Liophis ornatus, le "Saint Lucia racer" ou couresse de Sainte-Lucie. Les derniers spécimens de ce petit serpent (sa taille adulte ne dépasse pas un mètre), non venimeux, survivent sur un petit îlot de 12 hectares proche des côtes de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Selon les experts, ce membre de la famille des couleuvres serait le serpent le plus rare au monde.
Une île sans mangoustes


La couresse était à l'origine un serpent plutôt commun à Sainte-Lucie, et si sa population a rapidement décliné, c'est qu'elle a été la proie d'un prédateur hors pair : la mangouste. Introduite à la fin du XIXe siècle en provenance des Indes pour éliminer les serpents venimeux, le petit mammifère n'a pas fait de détail. Il a décimé cette couleuvre, endémique de l'île. A tel point que les biologistes avaient considéré l'espèce comme éteinte en 1936. Non loin de là, dans la réserve naturelle des Maria Islands, un spécimen de couresse de Ste-Lucie est aperçu en 1973. Dès lors, ses apparitions se font rares et la crainte de voir à nouveau disparaître l'espèce grandit d'année en année.


Fin 2011, une équipe de chercheurs de Sainte-Lucie est constituée pour déterminer si la couleuvre est toujours en vie. Quelques mois plus tard, après de longues recherches à soulever les moindres pierres et arpenter les pentes des îlots qui composent les Maria Islands, les chercheurs attrapent onze serpents, les baguent, et les relâchent.
L'analyse de données des nouvelles captures indique qu'une population totale de 18 individus peuplerait l'île. Une autre méthode, moins précise, fixerait leur nombre à environ cent couleuvres. Son aire de distribution, cet îlot de 12 hectares, pourrait être la plus petite au monde pour tout type de serpent. S'il survit dans cet endroit, c'est parce que les mangoustes n'y ont jamais accédé.
"Rester les bras croisés, ce n'est pas une option"


Avant que la couresse de Sainte-Lucie n'obtienne ce titre de "serpent le plus rare au monde", celui-ci était détenu par une autre espèce antillaise : la couresse d'Antigua. En 1995, le nombre d'individus de ce serpent était tombé sous les 50. Dix-sept ans d'un programme de protection de l'espèce plus tard, leur population a atteint 900 spécimens. Un succès acquis grâce à la collaboration des habitants d'Antigua, qui, en comprenant l'importance de sa présence, ont éliminé ses prédateurs "importés", les mangoustes et les rats.
Une stratégie payante dont l'équipe de préservation de Sainte-Lucie pourrait s'inspirer pour sauvegarder leur espèce endémique. Jusque-là, la couleuvre locale reste sous la menace d'une nouvelle importation de prédateurs.


"Nous avons quatre espèces endémiques de serpents à Sainte-Lucie", indique Alwin Dornelly du Département des forêts et de la nature de Sainte-Lucie. "L'une d'entre-elles est extrêmement rare. Nous devons déployer tous les efforts possibles pour éviter sa disparition".


"Des dizaines, si ce ne sont pas des centaines, d'animaux antillais ont déjà disparu parce que les Hommes ont inconsciemment importé des espèces prédatrices, venus d'autres parties du monde. Nous ne pouvons pas nous permettre de voir l'inoffensive couresse de Sainte-Lucie devenir le prochain cas", martèle le Dr. Jenny Daltry, biologiste en chef de Fauna & Flora International. Elle ajoute : "rester les bras croisés, ce n'est pas une option".

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Les stars qui ont fait de la prison

  
LES STARS QUI ONT FAIT
DE LA PRISON !

Ce n’est pas parce qu’on est une star, qu’on échappe à la justice !
Conduite en état d’ivresse, possession de drogues, violence… Nombreuses sont les stars qui se croient souvent au-dessus des lois et finissent par atterrir en cellule. Zoom sur ces stars qui ont fait de la prison !

1 - Paul McCartney


L’ex-Beatles qui séjournait quelques jours au Japon sans son épouse Linda, a passé 10 jours en prison pour possession de marijuana en 1980.

2 - George Michael


Avec un dossier judiciaire rempli de condamnations pour conduite sous l'influence   d’alcool ou de substances illicites, George Michael ne pouvait cette fois-ci plus échappé à la sanction. Après un énième accident de voiture en Septembre 2010, il est condamné à 8 semaines de prison pour conduite en état d’ivresse, mais n’en fera finalement que quatre.

3 - Joey Starr


Le rappeur Joey Starr est connu de tous pour son tempérament rebelle. En 2009, l’artiste de 42 ans est condamné à 2 ans de prison dont six mois fermes pour violences volontaires. Il aurait porté des coups de hachoir sur un véhicule au cours d'une bagarre et a donc été placé directement sous mandat.

4 - Samy Naceri


L’acteur du film Taxi, Samy Naceri, a eu de nombreuses démêlées avec la justice. Il a été condamné à 16 mois de prison ferme pour avoir agressé à l'arme blanche, en janvier 2009 à Paris, un ami de son ancienne compagne. Après un mois de détention, il est transféré dans une unité psychiatrique de Nice ; après avoir révélé son envie de se suicider. Un lourd traitement suite à une greffe du foie l’empêchera de retourner en prison.

5 - Paris Hilton


En mai 2007, la jet-setteuse Paris Hilton faisait la une des médias pour sa condamnation de 45 jours de prison pour avoir violé les termes d'une mise à l'épreuve en conduisant sans permis. Elle sera libérée après 23 jours seulement d’incarcération.

6 - Bertrand Cantat


Le chanteur du groupe Noir Désir a été condamné à 8 ans de prison pour le meurtre de sa compagne Marie Trintignant en 2003, après l’avoir frappée à la suite d’une dispute. Il purgea quatre des huit ans de réclusion auxquels il avait été condamné.

7 - Roman Polanski


Le cinéaste Roman Polanski a passé 42 jours en prison en Suisse. Il est arrêté à l’aéroport de Zurich en septembre 2009, suite à un mandat d'arrêt américain émis en 2005. Les Etats-Unis demandaient son extradition pour le juger pour une affaire de mœurs qui remontait à une trentaine d’années.

8 - Al Pacino


Avant d’être connu pour ses rôles dans Le parrain ou encore Scarface, Al Pacino a connu quelques confrontations avec la police, notamment en 1961 où il passa trois jours en détention provisoire à Rhode Island pour dissimulation d’arme. Il avait 21 ans.

9 - Lindsay Lohan


Connue pour ses séjours en prison, l’actrice Lindsay Lohan a été condamnée en 2011 à 30 jours de prison et de travaux d'intérêt général pour violation de sa liberté surveillée dans des affaires de vol et de conduite en état d'ivresse. Après seulement 5 heures de détention, le shérif libéra la starlette. Habituée des détentions express, elle avait déjà passé 84 minutes derrière les barreaux en 2007, au lieu d'un jour. Et la même année, elle fut libérée après 14 jours de prison sur les 90 auxquels elle avait été condamnée.

10 - Robert Downey Jr


En novembre 2000, l’acteur Robert Downey Jr. avait été interpellé alors qu’il possédait de la cocaïne et des amphétamines à Palm Springs. Le lendemain grâce au paiement de la caution de 15 000$, il fut libéré. Peu de temps avant cette arrestation, il sortait tout juste d’un an de prison pour les mêmes raisons.

11 - Nicole Richie


Il faut croire que les prisons américaines font fuir les stars ! En 2007, Nicole Richie a été arrêtée pour conduite sous l'emprise de la drogue. Elle a écopé de quatre jours de prison (elle fut libérée au bout de 82 minutes seulement) et de 2048 $ d'amende.

12 - Mike Tyson


En 1992, le boxeur américain Mike Tyson est condamné à trois ans de prison ferme pour le viol de Desiree Washington. Mais il n’en n’est pas à son premier séjour en prison, puisqu’il avait déjà écopé d'une journée en prison et de trois ans de mise à l'épreuve pour possession de drogue.

13 - Matthew McConaughey


L’acteur américain, Matthew McConaughey aurait peut-être du réfléchir à deux fois avant de résister aux forces de l’ordre. Arrêté pour possession de drogue en 1999,
il aurait pu s’en sortir avec un simple avertissement, mais il est finalement emmené au poste de police et restera en cellule jusqu’à son jugement. Les accusations ont été par la suite abandonnées.

14 - James Brown


James Brown, le roi de la soul s'est fait arrêter dans sa maison de Caroline du Sud pour violences domestiques. A 70 ans, il a passé la nuit en prison, ce n’est pas une nouveauté pour lui puisqu’en 1988 il a passé deux ans et demi en prison pour des affaires de drogue et pour agression.

Paul McCartney in Hey Jude!

                


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Chủ Nhật, 28 tháng 10, 2012

Le Hoggar« sud d’Algérie », ce paradis à visiter !


LE HOGGAR« SUD  D’ALGERIE »
CE PARADIS  A VISITER !




Le Hoggar couvre une superficie de 480.000 km2. C'est une région montagneuse au centre du Sahara algérien dont le relief tourmenté rend difficile toute pénétration. Les terribles déserts qui entourent le Hoggar semblent avoir conservé cette région dans un isolement dont nous avons récemment rompu le terme. Le climat de type désertique subit des modifications dues à l'altitude, ce qui permet des pâturages autorisant un élevage de caractère extensif pratiqué par des nomades.


Les hautes vallées des oueds possèdent des nappes aquifères peu abondantes, et soumises aux irrégularités des précipitations atmosphériques. La terre arable quoique rare, est utilisée par des cultivateurs noirs qui l'irriguent en captant les eaux accumulées sous les alluvions par un curieux système de foggara. Ainsi vivent cinquante-quatre centres de cultures, dont TAMANRASSET est l'un des principaux.

LA POPULATION


 Le Hoggar possède environ 12.000 habitants, dont une population nomade et une population sédentaire, la première pratiquant l'élevage du chameau et des chèvres, la seconde cultivant du blé en hiver, du mil et des tomates en été.
Du point de vue ethnique, on peut distinguer deux groupes importants :
1°) des blancs : les touareg vraisemblablement des berbères. Ils sont nomades et ce sont eux qui nous intéressent dans cette étude.
2°) des noirs : leur origine est controversée : autochtones ou issus du Soudan, soit directement, soit passés par le TOUAT.
Les caractéristiques somatiques de ces deux groupes sont bien connues ; elles ont été étudiées par de nombreux ethnologues. Les Touareg sont au nombre de 4.500 environ. Parmi la population noire, il faut distinguer deux groupes, d'abord les serviteurs des Touareg (iklan), environ 1.800 individus qui furent razziés autrefois au Soudan ; ils vivent la vie familiale touarègue, habitent sous la tente, et on à charge les travaux domestiques. Le deuxième groupe de population noire est constitué par les quelques 4.000 sédentaires qui vivent dans les centres de cultures du Hoggar. On les nomme " harratin" ; ils sont vraisemblablement originaires du Sahara central, ils travaillent les jardins appartenant aux Touareg. L'élément nomade de cette population paraît, à divers titres le plus attachant ; il est constitué par les Touareg. Ces Touareg, dont la littérature s'est emparée, forment un groupement social intéressant, replié sur lui-même, attaché à ses traditions, dont le système économique encore basé sur le troc est une véritable gageure. La structure sociale de cette population est encore actuellement identique à celle qui existait au Hoggar avant l’arrivée des français." Cette organisation est une conséquence des facteurs géographiques qui subsistent presque tous.


 L'originalité des mœurs de ce petit peuple, l'archaïsme de la société encore féodale, joints à l'attrait qu'exercent les Touareg, méritent l'attention particulière de l'administration française, et plus spécialement celle de l'enseignement. Les Touareg forment une confédération de tribus commandée par un chef suprême : l'Amenokal, qui est élu, mais doit avoir une ascendance noble. Le titre d'Amenokal confère la propriété de la terre, mais ce droit est exercé suivant les coutumes orales.
Au sein des tribus, existe un système de castes très étanches, entretenu par la famille encore matriarcale. Les tribus nobles, qui autrefois assuraient la protection de la confédération et fournissaient les guerriers, sont actuellement au nombre de trois : les KEL RELA, plus puissants et plus nombreux, chez lesquels se choisit l'Amenokal ; les TDJEHE MELLET et les TAITOKS : (la presque totalité de cette tribu a émigré au Soudan).
Ces nobles, jadis riches de pillages exécutés sur les confédérations voisines, ou au dépens des caravanes qui traversaient leurs terres de parcours sans avoir payé les droits de protection, sont pauvres à présent. La paix française a supprimé l'essentiel de leurs revenus. Les vassaux, que l'on nomme " IMRAD " en langue tamahaq sont répartis en dix-neuf tribus. Leur rôle était, autrefois, d'élever les chameaux pour le compte des nobles, afin de fournir les bêtes nécessaires pour les caravanes et les rezzous Pasteurs avant tout, ils conduisaient les caravanes et pouvaient être appelés en renfort quand une expédition prenait une ampleur anormale.
Chaque famille touarègue possédait des esclaves noirs qui étaient chargés des travaux domestiques. Ils sont actuellement libérés de leur condition d'esclave, mais ils restent attachés à la famille qui les nourrit, comme domestiques. En fait, leur existence n'a pas changé.
Enfin, vivent dans les centres de cultures des noirs libres, les harratins qui cultivent la terre pour le compte des Touareg suivant des contrats précis et respectés.

CREATION DE L'ECOLE


En 1947, l'école de TAMANRASSET (deux classes) fut ouverte. Les enfants du village, hésitant au début, vinrent nombreux au cours de la première année scolaire. Mais il n'y avait que des fils de Harratins, les noirs de l'oasis Afin de ne pas troubler l'équilibre de ce pays, il était nécessaire de scolariser les nomades comme les sédentaires puisque les Touareg ne venaient pas à l'école, c'est l'école qui alla à eux.

LES CLASSES NOMADES


Monsieur Claude BLANGUERNON, alors Directeur d'Ecole à Tamanrasset fus chargé de faire un essai de classe nomade afin de juger si le système était viable.
Les Touareg, comme tous les primitifs, avaient peur de cette nouveauté qu'était l'école ; ils ne voyaient aucunement l'utilité d'envoyer leurs enfants en classe. Ils craignaient que l'instituteur soit une sorte d'espion de leur vie quotidienne. L'école, pensaient les nomades, pourrait lutter contre leurs aspirations religieuses ; enfin, les raisons qui étaient les plus valables, mettaient l'accent sur le fait que dans les tribus IMRADS, les enfants participent aux travaux quotidiens, et qu'une jeune Targui doit rester attaché à son campement pour s'instruire de son métier de nomade.
En conclusion de l'essai de classe nomade, Monsieur Claude BLANGUERNON insistai sur le fait que ce peuple devait rester nomade. D'autre part, il avait tenu à respecter les coutumes touarègues, il semblerait donc anormal que l'école vienne les bousculer. L'un des buts de l'école se trouve donc tout tracé : recréer une spiritualité, une vie active de l'esprit qui tend à se scléroser dans les cadres rigides de l'Islam. Enfin, il semble normal que la langue française devienne le moyen de relation entre Français et Touareg.
Cette école qui fut accueillie avec méfiance ne tarda pas à s'inclure dans la vie du pays grâce à la foi des instituteurs nomades dans leur travail quotidien, et il faut le dire aussi, grâce à la droiture des chefs touareg qui reconnurent honnêtement combien leurs craintes furent vaines.

LES ENFANTS


Les enfants touareg, qui fréquentent les classes nomades étaient solides et résistants, il y a une assez grosse mortalité infantile qui conditionne une sélection naturelle. Jusqu'ici, le taux de cette mortalité infantile n'a pu être établi. Les bébés sont magnifiques, et les médecins ont toujours remarqué l'excellent état physique des enfants de 6 à 15 ans. Le jeune Targui pousse au grand air, courant après les chèvres et les chameaux, grimpant sur les collines à la recherche des lézards et des petits rongeurs, faisant inconsciemment son apprentissage de nomade. Le Targui est propre, s'il ne se lave pas, c'est par manque d'eau ou de commodités ; et également pour ne pas ôter trop souvent le bleu-gras que l'indigo des vêtements laisse sur sa peau, ce qui le protège de la siccité de l'air. A vrai dire, la conception occidentale de la propreté n'a plus de sens ici, la sécheresse de l'air empêche la sueur de perler, et l'on se salit assez peu ; d'autre part, la terrible insolation rend toute chose stérile, si bien que très peu de plaies s'infectent.

POSSIBILITÉS INTELLECTUELLES 


Lorsqu'ils sont au travail, les Touareg sont capables de concentrer leur attention, mais cette concentration est fugitive, ce qui sans doute est la conséquence du manque d'habitude du travail intellectuel ou bien une tendance naturelle à la rêverie et au farniente, quand ils ne sont pas dans l'action coutumière de la vie nomade. L'éducation doit à la longue créer l'habitude de concentrer l'attention.
La mémoire, en général est excellente, par atavisme, pourrait-on dire, car toute tradition est orale en pays touareg. Elle est, de plus, très bien entraînée, surtout en ce qui concerne la vie nomade, car il faut retenir des itinéraires, se souvenir des points caractéristiques qui les jalonnent, reconnaître les traces de sa monture, celles des hommes et de tous les animaux du désert, enfin toutes les coutumes doivent être gravées dans l'esprit.

LE COSTUME TRADITIONNEL DU HOGGAR


Le costume traditionnel du Hoggar est très simple, eu égard aux conditions de vie extrêmes de cette région aride. Le targui adoptera alors un costume épuré de tout superflu qui sera depuis des millénaires adapté à son environnement hostile. Il s’agit d’une gandoura à manches longues de couleur blanche, enfilée sur un pantalon de la même texture en lin léger.
Les hommes bleus sont coiffés d’un voile léger appelé Tagoulmoust, particularité des gens du sud. Les hommes s’enroulent la tête et couvrent leur bouche et leur front par souci d’hygiène, pour préserver les yeux, la bouche et le nez de l’action néfaste du soleil et du sable et s’enveloppent dans une large cape sans manches. réalisée dans un tissu fin, ramenée sur ses épaules. Le costume targui finit sur des sandales très larges faites en peau de chèvre ou de chameau.


La femme se vêt aussi d’une manière sobre en s’enveloppant dans un long tissu de couleur chaude qui n’est pas sans rappeler le sari indien. En dessous de ce voile elle met une robe de tissu ordinaire sans manches, quant à la coiffe, elle est tout simplement faite d’un pan du sari qui est replié élégamment sur la tête en couvrant le nez et la bouche devant tout étranger. un geste qui, loin d’être agressif, ne manque pas de donner du charme aux dames du Hoggar qui sont pour la plupart des femmes graciles aux traits fins.
Le Costume d’Affrana est pour la femme targuie un costume de fête fait de tissus très riches et très élaborés sur une base de sari. Ce vêtement est importé des pays frontaliers. ce qui explique la manière africaine de le mettre. Par contre le costume masculin de cérémonie n’est motivé que par une seule source d’inspiration qu’est l’affrontement entre les tribus (Rezzou) avec ce rappel que le peuple Touarègue est originellement un peuple guerrier.


Pour aller combattre, le Targui se met en condition, c’est alors tout un rituel qui se met en place, danses, chants et poésie. Le guerrier s’habille d’une tunique blanche, d’un pantalon et d’une cape noire avec un chech indigo qui s’intercale avec un turban blanc.
Deux bandes de tissu ou de lainages multicolores se croisent sur sa poitrine et nouées au niveau de la taille pour maintenir la takouba (épée), comme accessoire, une sacoche en cuir est enfilée par-dessus la tête. Cette sacoche sert à contenir quelques provisions et amulettes porte-chance. Le reste du costume finit par le port à la main de l’Alter (bouclier en peau durcie) et des sandales en cuir très larges à la base.
Cette tenue est souvent portée au cours de cérémonies religieuses ou des mariages.

HOGGAR, A L’ASSAUT DES FORTERESSES ET DES VOLCANS


Vous pouvez découvrir un circuit magique vous qui vous mènera à la découverte du plus beau désert du monde : celui du Hoggar, avec ses pics basaltiques dressés vers le ciel conférant au paysage une splendeur lunaire hors de ce monde. Le Hoggar, dont le chef-lieu administratif est Tamanrasset, couvre une superficie de 480 000 km² environ. Les paysages du Hoggar se déroulent sur des centaines de kilomètres, dévoilant une nature désertique qui se pare des formes rocheuses les plus extraordinaires. Au sommet de l’un de ces anciens volcans, le père de Foucauld, personnage mythique du désert algérien qui compila en un extraordinaire dictionnaire tout l’héritage oral du peuple nomade touareg (les fameux « hommes bleus »), érigea un ermitage que l’on peut visiter et qui domine toute la vallée : une expérience des hauteurs à couper le souffle ! Un circuit de pure aventure où chaque jour apporte son lot de paysages différents et somptueux, contredisant le préjugé selon lequel le désert serait plat et uniforme.

CE QU’ON PEUT VISITER


- l'Ermitage du Père de Foucauld.
- Cascade de Tamekrest.  
- voir paysage de dunes.      
- dans les plus beaux sites du Tassili : Youfaghlal, Tahagart, Guelmamat Samidat, Tagrera, Inakachaker.
- Grottes d'el Ghessour.  
- les tamaris et acacias de l'Oued Zazir.

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