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Chủ Nhật, 28 tháng 10, 2012

Qu’est-ce que la sinusite ?

  
 QU’EST-CE QUE LA SINUSITE ?


La sinusite est une infection de la paroi intérieure des sinus. Les sinus sont des cavités qui communiquent avec les fosses nasales.

Description 


La sinusite se décrit comme une irritation et un œdème au niveau de la muqueuse. Le mucus s’accumule au niveau du sinus. Il se présente alors :
- un écoulement nasal unilatéral, des éternuements,
- un mal de tête exagéré par la position penchée en avant ;
- une douleur extrême au niveau du visage, s’irradiant autour des yeux ou vers les mâchoires supérieures,
- une sensation de pesanteur autour des yeux,
- une obstruction nasale ; les sécrétions nasales sont abondantes et peuvent être purulentes (infection bactérienne) ou claires (infection virale),
- une diminution ou perte de l’odorat transitoire (anosmie) ; le patient se plaint parfois d’une mauvaise odeur (cacosmie),
- une mauvaise haleine,
- la fièvre n’est pas constante.

Les différents types de sinusite


La sinusite aiguë est d’apparition brutale et dure quelques jours. Les épisodes apparaissent 2 à 3 fois par an et sont généralement dues à une infection de l’appareil respiratoire (secondaire à un rhume ou une rhinite).
La sinusite chronique évolue sur quelques mois et persiste malgré les traitements médicamenteux. Elle peut être secondaire à des épisodes de sinusites aiguës négligées ou non traitées. Les allergies sont également les causes les plus fréquentes (rhinite allergique).

Quelles sont les causes d’une sinusite ?


Les infections sont les principales causes de la sinusite. Cependant, certains facteurs peuvent contribuer au développement ou à l’aggravation des signes.
Les agents infectieux
- Les virus : Rhinovirus, Myxovirus, Adénovirus
- Les bactéries: Haemophilus influenzae, Streptococcus pneumonaie, Staphylocoques auréus, les bactéries responsables d’infections bucco-dentaires
- Les champignons : Aspergillus, mucormycose
Les facteurs de risques
- Les allergies (rhinite allergique ou allergie respiratoire)
- Les infections dentaires au niveau de la dent peuvent se propager vers les sinus (surtout en cas d’abcès dentaire)
- Les infections des voies respiratoires hautes : grippe, rhume
- Les antécédents de sinusites à répétition
- Les affections du nez ou du sinus (malformations congénitales, polypes sinusiennes ou naso-sinusiennes, déviation de la paroi nasale, hypertrophie des cornets)
- Les facteurs environnementaux : pollution, moisissures, fumées de cigarettes, humidité, poussières, inhalation de produits chimiques
- Le tabagisme actif
- Certaines maladies peuvent se compliquer en sinusite : reflux gastro-œsophagien, les maladies caractérisées par une diminution de la défense immunitaire,
- Les baignades en piscine ou les drogues inhalées peuvent être à l’origine d’une irritation de la muqueuse sinusienne
- Les corps étrangers introduits par le nez (situation fréquente chez les enfants).
- Polype du nez : tumeur bénigne formée à partir des cellules de la muqueuse sinusienne entraînant une irritation et obstruction.

Comment traiter une sinusite ?


La sinusite ne doit pas être négligée. L’automédication est dangereuse. Une consultation médicale est recommandée car les complications de la sinusite sont graves (méningite, otite, infection de l’œil…), notamment chez l’enfant.
Le traitement médicamenteux :
- Antibiotique en cas de sécrétions purulentes signant une infection bactérienne
- Décongestionnant nasal pour désobstruer le nez
- Anti-inflammatoire
- Antalgiques, en cas de douleurs intenses.
- Repos
- Boisson abondante (pour fluidifier les sécrétions nasales),
- Mouchage régulier,
- Humidification de l’air ambiant en évitant de s’exposer au froid,
- Instillation de solution saline pour évacuer le mucus,
- Le lavage du nez avec du sérum physiologique est également conseillé,
- Une compresse chaude appliquée sur la partie douloureuse est également efficace.
En cas de sinusite chronique compliquée ou abcès, il est parfois nécessaire d’effectuer un drainage du sinus voire même une chirurgie.

Conseils pratiques sur la prévention 


- Assurer une température ambiante constante ;
- Éviter tout changement de pression : éviter les baignades, les voyages en altitude ;
- Prendre des précautions contre le virus de la grippe : éviction des personnes enrhumées ;
- lavage fréquent des mains ;
- Éviter les allergènes (notamment pour les personnes à terrain atopique) : les animaux domestiques, les poussières ;
- Traiter les infections dentaires ;
- Traiter correctement une sinusite pour éviter la récidive et la chronicité ;
- Éviter les fumées de cigarettes, arrêter le tabagisme ;
- Assurer un mode de vie correct : bonne gestion du stress, exercice physique régulier, alimentation équilibrée.

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Thứ Bảy, 27 tháng 10, 2012

Découverte dans de l'ambre des plus vieux insectes du monde

  
DÉCOUVERTE DANS DE L'AMBRE
DES PLUS VIEUX INSECTES DU MONDE




Une équipe internationale de chercheurs a identifié trois insectes fossilisés dans de l'ambre. Ces spécimens, vieux de 230 millions d'années, seraient les plus anciens jamais découverts dans cette matière.


Un gisement d'ambre situé dans le massif des Dolomites (nord-est de l'Italie) a permis de retrouver deux fossiles d'arthropodes et un de diptère, datant de 230 millions d'années. Ils constitueraient ainsi les plus anciens spécimens fossilisés de ce type, ayant vécu plus de 100 millions d'années avant ceux connus jusqu'alors.


Des chercheurs italiens, allemands et américains ont publié les résultats d'une dizaine d'années de recherches sur le gisement dans la revue américaine « Proceedings of the National Academy of Sciences ». L'équipe, dirigée par Alexander Schmidt de l'université allemande de Göttingen, a observé au microscope 70.000 gouttelettes d'ambre mesurant de 2 à 6 millimètres. Ces travaux ont alors permis de découvrir des micro-algues, champignons et microbes fossilisés, mais également les fameux fossiles d'insectes datant de la période triasique (230 millions d'années).


David Grimaldi de l'American Museum of Natural History's Division of Invertebrate Zoology explique : "Il y a eu un bouleversement de la flore et de la faune au Trias car il a eu lieu juste après la plus profonde des extinctions de masse de l'histoire, à la fin du Permien. C'est une importante époque à étudier si l'on veut savoir comment la vie a évolué".
 L'une des plus anciennes traces de diptères


Parmi ces trois fossiles d'insectes, deux sont des arthropodes microscopiques, des acariens inconnus jusque-là mais restant proches d'espèces contemporaines. Aujourd'hui, près de 3.500 espèces sont identifiées. Elles vivent sur des plantes à fleurs et s'en nourrissent, alors que l'espèce préhistorique aurait vécu sur un conifère de la famille des Cheirolepidiaceae, aujourd'hui éteinte. Un élément qui suggère que l'insecte aurait eu une grande capacité d'adaptation.


Le troisième insecte fossilisé est un diptère de 1,5 à 2 millimètres. Il est moins bien conservé mais intéresse tout de même les scientifiques. Le paléontologue du Laboratoire de Géosciences de Rennes (CNRS/Rennes 1), Vincent Perrichot explique : "J'ai eu l'occasion de l'observer au microscope, il est malheureusement trop fragmentaire pour être identifié précisément. Mais c'est l'une des plus anciennes traces de diptères que nous possédons actuellement !" La découverte de ce diptère confirme ainsi l'hypothèse de l'existence de cette espèce à l'époque triasique.


Selon Vincent Perrichot : "Trouver des organismes fossiles de cette période géologique est extrêmement enrichissant. Cela nous donne de nouveaux indices sur les espèces qui existaient à l'époque, et nous n'en avons pas tant que ça". L'ambre est une forme de résine fossile produite par les conifères qui permet surtout de récolter des informations sur les milieux forestiers de jadis.
 De plus, cette matière conserve très bien les organismes qu'elle emprisonne comme l'explique le professeur Grimaldi : "L'ambre est un outil de grande valeur pour les paléontologistes car il préserve les spécimens avec une fidélité microscopique, permettant une précision unique sur les estimations de l'évolution au cours de millions d'années".

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Thứ Năm, 25 tháng 10, 2012

Dans la nuit du 30/06/2012, le monde gagnera une seconde

  
DANS LA NUIT DU 30/06/2012,
LE MONDE GAGNERA UNE SECONDE


Dans la nuit de samedi à dimanche du 30 juin 2012, les horloges du monde devront ajouter une "seconde intercalaire". Une diminution de la vitesse de rotation de la Terre est à l'origine de l’évènement.


Il n'y a pas de petits profits pour les dormeurs : ce week-end, ils pourront prolonger leur nuit… d'une seconde. Dans la nuit de samedi 30 juin à dimanche 1er juillet, au temps universel de 23h59min59s, il faudra patienter une seconde supplémentaire avant de passer au 00h00min00s. La dernière minute aura alors duré 61 secondes. Le monde entier devra se caler sur cette "anomalie". En France, cet événement interviendra à 2h du matin. Les horloges afficheront 1h59min59s, puis 1h59min60s avant que le cadran n'affiche 2h précises.


On doit cette seconde supplémentaire au vieillissement de notre planète. A mesure que notre Terre prend de l'âge, sa rotation ralentit : "les modèles montrent qu'il y a 300 ou 400 millions d'années, le jour ne durait pas 24 heures comme aujourd'hui, mais seulement 22 heures. La Terre tournait plus vite", explique Daniel Gambis, directeur de l'IERS (International Earth Rotation Service), un organisme hébergé à l'Observatoire de Paris. Ce ralentissement perdure aujourd'hui : les marées provoquées par la Lune et le soleil dissipent son énergie de rotation. A plus court terme, d'imperceptibles variations apparaissent "au gré des mouvements atmosphériques, des variations saisonnières des calottes glaciaires, des mouvements du cœur interne, voire des séismes", comme l'explique le l'Observatoire de Paris, dans son communiqué de presse. Des séismes comme celui de Fukushima (Japon) pourraient être à l'origine de la perturbation. Soumis aux aléas, un tour de la Terre sur elle-même en août serait plus court d'une à deux millisecondes qu'un tour accompli en février.



La 25e seconde intercalaire 

Pour mesurer le temps, les horloges atomiques sont apparues en 1967. Avant celles-ci, le monde se basait sur l'astronomie pour définir l'heure exacte : "on regardait la position d'un astre, le Soleil ou d'autres objets célestes" par rapport à la Terre, précise Noël Dimarcq, directeur du Syrte (Systèmes de référence temps-espace). Les horloges atomiques ont permis de gagner en précision, puisqu'elles sont "capables de découper le temps en millionièmes de milliardième de seconde", explique-t-il à l'AFP.


"Le temps donné par l'orientation de la Terre finit par dériver par rapport au temps atomique. Et pour éviter que l'écart entre les deux ne devienne trop important, la communauté internationale, en particulier le Service international de la rotation terrestre (IERS) décide d'ajouter une seconde à l'UTC (Temps Universel Coordonné)", révèle Noël Dimarcq. Il faut remonter au 31 décembre 2008 pour retrouver la trace d'une telle seconde ajoutée. L'événement semble aussi irrégulier que la rotation de la Terre : le 30 juin prochain, ce sera seulement la 25e seconde ajoutée au temps universel depuis l'instauration de ce système.

Les fusées resteront au sol 


Si certains noctambules pourraient voir dans cette seconde supplémentaire une occasion de fêter l'événement, elle ne devrait pas changer grand-chose pour les autres. En revanche, les systèmes de haute précision, tels les satellites ou certains réseaux informatiques, pourraient en être affectés.
Pour éviter un décalage potentiellement catastrophique, risquant de brouiller les calculs, aucun tir de fusée ne sera programmé ces jours-là. Certains pays demandent même l'abolition de cette seconde intercalaire, jugeant qu'elle ne générerait que source de perturbations et d'erreurs. Le système de géolocalisation par satellites américain GPS a déjà fait le choix, depuis 1980, de ne se reporter qu'à l'horloge atomique, sans tenir compte de l'ajout irrégulier de secondes. Il compense les secondes manquantes par rapport à l'UTC par la suite, dans le signal qu'il envoie au sol.

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Thứ Hai, 22 tháng 10, 2012

Les 03 voitures les plus chères du monde

  
LES 3 VOITURES LES PLUS CHÈRES
DU MONDE


Nous vous dévoilons le palmarès des trois voitures les plus chères du monde. De quoi rêver devant des modèles imaginés par Bugatti, Pagani ou   encore par Shelby Super Cars.

1 – La Bugatti Veyron 16,4 coûte 1 000 000 €


C’est le seul modèle en production du constructeur automobile Bugatti et, est en vente depuis 2005. Elle est aujourd’hui considérée comme la voiture de série la plus puissante au monde, avec ses 1000 chevaux sous le capot.
La Veyron a été conçu en Allemagne et fabriquée en petite série dans l’Atelier Bugatti, situé à Dorlisheim en Alsace.
En octobre 2005, la Bugatti Veyron 16,4 a atteint les 415 km/h sur le lac de Bonneville et  la 16,4 Super Sport peut désormais atteindre les 431 km/h

2 – La Pagani F Roadster coûte 543 371 €


C’est une automobile de la marque italienne Pagani produite en 25 unités chaque année depuis 1999. Elle possède un moteur arrière central et elle est principalement composée de matériaux composites à base de fibres de carbone.
Dérivée de la Pagani Zonda F, la Roadster F possède deux trappes transparentes qui prennent place au dessus du moteur afin d’admirer la mécanique.
Le moteur V12 de 7,3 litres d’origine Mercedes, possède quand à lui 660 chevaux. Ainsi motorisée, l’infernale Pagani Zonda Roadster F passe de 0 à 100 km/h en 3,6 secondes avec une vitesse de pointe de 345 km/h. Bonne route au 25 heureux propriétaire.

3 – La SSC Ultimate Aero TT coûte 532 573 €


C’est une supercar construite par Shelby Super Cars. Cette automobile rivalise avec la Bugatti Veyron 16,4, avec une vitesse de pointe de 411 km/h et un temps de 2,78 secondes de 0 à 100 km/h. Cette voiture détenait le record du monde de vitesse en 2007 après avoir été détrônée par la Veyron.
Le moteur v8 de la SSC Ultimate Aero possède 1046 chevaux.

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